Le texte de Nicolas Brenneur confirme ce que j’affirme depuis quelques années: les suspentes bougent plus qu’avant et qu’il faut faire souvent des contrôles de calage.
La différence est grande avec des parapentes des années 2000 , qui avaient des calages bien plus stables et étaient certainement plus tolérants que les belles voiles que nous avons maintenant.
Il faut dire qu’à l’époque, on avait de la peine à tenir un “fagot” de suspentes (droite ou gauche) dans une main, alors que maintenant, on arrive facilement à tenir toutes les suspentes entre le pouce et l’index.